mercredi 14 mai 2014

Sans foi ni loi 52



Le titre est assez clair, après deux ans d'absence, je me connecte pour vous parler de calvitie prépubère chez les baobabs de Madagascar.

C'est l'histoire d'un cheveux, un cheveux sur la langue, qui à un poil près aurait eu à prouver qu'il le valait bien. Ce cheveux dans la soupe qui s'est joint à moi pour rouler jusqu'au haschich parmentier, finit pourtant en haschich kebab, croyant que l'herbe y était plus verte. Oui, je vous conte là l'histoire poilante de la drogue; Alice* in Weenderland.

Alice avait 5 ans et toutes ses dents, sauf une, qu'elle gardait soigneusement contre moi.

Weenderland. Un nom de taule. De trou. De geôle. Là où des idées se forment et se reforment, des idéaux mis-bas et des débats mis à nu. Pourtant, la vraie prison n'est autre que celle de l'esprit (et le feu, ça brûle comme disait Coelho, Popo pour les intimes).

Les esprits libres ne se confinent pas à l'étroitesse des lois et Max ne volera pas entre ses lignes. 
Un joint roulé fera couler plus de salive que d'encre, ou bien est-ce l'inverse. A l'arrache, il fit couler des vies.

Par cette ôde à la Flore, Mère Nature est au dessus de vos lois, car elle, ne mange pas ses enfants. Est-il pertinent toutefois de parler de rêves brisés, qui partent en fumée, à la minute où on vous pisse dessus ?

Dépénalisez-vous vous-mêmes, et faites tourner le calumet de la paix.

C'est l'histoire d'un joint qu'on jette en prison pour avoir fumé un jeune.
C'est l'histoire d'une loi qu'on rejette.






*De son vrai nom Elyssa, le didon de la farce dans cette histoire.




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